Le modèle ABC en avant toute !
Le modèle ABC, ou quand autonomie, solidarité et compétences, sont au rendez-vous. Vous avez toutes les chances de vous sentir bien dans votre peau. Plus d’énergie, plus de flexibilité et de résilience, et une meilleure capacité à développer votre potentiel de croissance. Vous avez plus d’énergie, vous êtes flexible et résilient et vous êtes mieux à même de développer votre potentiel de croissance. « Que vous soyez à l’école ou au travail, ces trois composantes sont partout et toujours déterminantes pour tirer le meilleur parti de vous-même », explique Femme. « La réalité montre que le sens rationnel se heurte parfois à l’émotionnel. Les étudiants sont bien conscients que de nombreuses opportunités leur sont offertes ici et qu’il y a un grand nombre d’options (le rationnel), mais ils ressentent aussi une pression pour répondre aux attentes parfois élevées à tous les niveaux (l’émotionnel).
« En raison de la pandémie, la question du bien-être mental a gagné du terrain. Cette évolution est réjouissante. Même dans notre université, nous y répondons de façon intensive et nous sensibilisons le public à cette thématique en particulier. Nous instaurons une ambiance conviviale en insistant sur la nécessité d’en parler. Nous nous engageons aussi à fond dans la prévention en l’intégrant dans notre politique et en le mettant en œuvre dans un certain nombre d’initiatives. Par exemple, la semaine Mind Matters, qui vise à encourager la sollicitude à l’égard de soi-même et à favoriser les liens mutuels. Malgré la multitude de moyens de communication actuels, les jeunes d’aujourd’hui ont parfois du mal à se connaître et à créer eux-mêmes un réseau de solidarité communautaire. »
Une vision orientée croissance
La connectivité, et par extension toutes les habiletés sociales prendront davantage de place sur le lieu de travail. « Des études scientifiques ont démontré que la connectivité a un effet tampon. En d’autres termes, elle renforce la résilience globale », précise Femme. Quand nous les accompagnons dans la préparation de leur diplôme, nous insistons sur la nécessité de prendre conscience de leurs compétences, de leurs attentes et de leurs besoins. Nous invitons les étudiants à s’interroger (régulièrement) sur ces questions et à envisager leur (futur) emploi sous l’angle de la croissance. Les questions que nous posons : « que sais-tu faire ? », « que veux-tu vraiment ? » et « que trouves-tu important ? », par exemple. Nous les aidons ainsi à faire un meilleur choix pour l’avenir, mais aussi à rechercher une adaptation de leur culture à celle des entreprises. À long terme, ils se sentiront plus épanouis et plus résilients dans leur travail. »
Un accueil dans toute sa différence
« Comme le contexte mondial, et donc le marché du travail, est en constante évolution et comme les compétences se multiplient — ce qui accroît la pression — les entreprises devront à l’avenir veiller encore davantage à moderniser ces compétences et à accompagner les jeunes travailleurs dans cette démarche. À l’université, nous aidons les étudiants dans leur progression, mais aussi dans la phase de transition vers le marché du travail. Une étape importante et inédite de la vie dont nous sous-estimons encore parfois un peu trop l’impact sur les jeunes diplômés », précise Femme.
« Prêter attention à ces premiers pas reste indispensable. Voilà pourquoi les entreprises, par exemple, doivent avoir une vision différente, plus nuancée, de l’accueil et de la guidance. Un collaborateur expérimenté, qui dispose déjà de compétences et d’une expérience, trouvera son chemin au sein de l’entreprise plus aisément et autrement qu’un jeune collaborateur inexpérimenté qui débute dans la vie active. En les intégrant mieux à ce stade, en fonction des besoins et des exigences de chacun, le talent se révélera plus vite et le bien-être mental n’en sera que renforcé. »
Vous êtes employeur et vous souhaitez plutôt miser sur une bonne intégration et sur le bien-être général de vos collaborateurs fraîchement diplômés ? Contactez-nous.